27 octobre 2010

Stratégies d'ajustement émotionnel, de T.S. Eliot à Rainbow Brite

J'ai brassé tant de pensées aujourd'hui, de questions, entre introspection, appels à l'aide et simple débordement émotionnel. Tout cela serait assez difficile à résumer et quelque peu hors de propos, mais il reste une question que j'ai envie de partager avec vous :

que faire de l'émotion ?

De l'émotion douloureuse s'entend. A quoi sert cette douleur, qui n'est pas encore physique sans être tout à fait mentale, le mal de ce qu'on appelle le cœur ? On sait que la douleur physique, si elle peut être combattue ou accompagnée, est un signal d'alarme précieux. Ceux qui ne ressentent pas la douleur vivent rarement vieux... Mais la peine ? est-elle un signal d'alarme, comme une jauge qui nous avertit d'un manque de carburant affectif, ou d'un dysfonctionnement sur lequel il nous est peut-être possible d'agir ?

Cela vous paraît peut-être évident, pour moi c'est un problème avec lequel j'ai beaucoup jonglé, sans y avoir trouvé de réponse qui tombe sous le sens. Faut-il fuir la peine, la vivre à fond, en chercher les causes, la transcender ?

...s'accorder une bonne décharge émotionnelle, pour se purger...



...ou intellectualiser...



...ou se métamorphoser en Blandine arc-en-ciel, se réinventer comme expression de pur amour universel...

“You have to give to the world the thing that you want the most, in order to fix the broken parts inside you.”

- Eve Ensler

"We try so hard to snare the perfect lover when we should focus on simply being love. "

- Gala Darling

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